Je savoure un instant cette journée à
me promener les doigts accrochés aux siens, à buller la tête sur
ses genoux dans un parc.
Je me délecte de le savoir en train de barboter dans ma baignoire ; l'un et l'autre incapables de mettre fin à ce weekend.
Je salive déjà de le voir évoluer dans mon décor, de découvrir ce que me réserve cette soirée...
Je me délecte de le savoir en train de barboter dans ma baignoire ; l'un et l'autre incapables de mettre fin à ce weekend.
Je salive déjà de le voir évoluer dans mon décor, de découvrir ce que me réserve cette soirée...
Je me dépêche de préparer un plateau
avec les sushis et lui sers un verre de vin avant de déposer le tout
sur la table basse et de le rejoindre.
Que j'aime déjà ces rituels entre nous !
La satisfaction qui m'envahit simplement en lui séchant les pieds.
Que j'aime déjà ces rituels entre nous !
La satisfaction qui m'envahit simplement en lui séchant les pieds.
La sérénité qui me gagne à peine
agenouillée près de lui.
L'évidence qui s'impose quand je tends
son verre comme il me l'a appris.
De temps en temps, il pose ses baguettes, et pose un sushi sur le plat de sa main avant de me le coller devant le visage.
Manger de la sorte, dans sa paume, me file des putains de papillons dans tout le corps.
- « Ne bouge pas. »
Je reste immobile et l'entends débarrasser. Il ouvre plusieurs placards, il doit chercher quelque chose dans mon bordel. J'admire son courage !
Il revient enfin vers moi et je sens un morceau de tissu se poser sur mes yeux.
J'entends quelques grésillements que je ne cherche même pas à identifier.
J'attends juste qu'il parle. Ou qu'il me touche. Ou les deux, je ne suis pas difficile.
De temps en temps, il pose ses baguettes, et pose un sushi sur le plat de sa main avant de me le coller devant le visage.
Manger de la sorte, dans sa paume, me file des putains de papillons dans tout le corps.
- « Ne bouge pas. »
Je reste immobile et l'entends débarrasser. Il ouvre plusieurs placards, il doit chercher quelque chose dans mon bordel. J'admire son courage !
Il revient enfin vers moi et je sens un morceau de tissu se poser sur mes yeux.
J'entends quelques grésillements que je ne cherche même pas à identifier.
J'attends juste qu'il parle. Ou qu'il me touche. Ou les deux, je ne suis pas difficile.
Il s'écoule plusieurs minutes (enfin,
je crois...) avant que je ne le sente reprendre place dans le
fauteuil face à moi.
Sa main effleure ma joue, descend et s'attarde sur mon cou.
Il redessine la courbe de mes seins du doigt.
Et puis, d'un coup, il en pince le bout. Fort.
J'ouvre la bouche pour me plaindre et suis presque surprise du gémissement de plaisir qui s'échappe de mes lèvres.
Il maintient la pression quelques secondes et je l'entends soupirer d'aise au moindre de mes tressautements.
Il recommence plusieurs fois et ce petit manège a pour effet immédiat de déclencher une envie dingue dans le bas de mon ventre.
A chaque shoot de douleur, mes hanches ondulent ; je sens mes lèvres glisser l'une contre l'autre.
Il a dû le remarquer aussi parce qu'il plonge deux doigts en moi pour vérifier.
- « Je me demande si ça t'arrive de ne pas être trempée... »
- « C'est parce que vous m'excitez, Monsieur. »
- « Ou alors, c'est juste parce que tu es une petite chienne. »
- « Et c'est parce que je suis une petite chienne que vous m'excitez autant, Monsieur. »
Son silence m'indique qu'il savoure ma réponse. J'imagine son sourire ravi et ça me comble.
- « Ne bouge pas. »
J'essaye de me figer alors que je crève d'envie de remuer mes fesses sous son nez pour qu'il me prenne enfin …
Sa main effleure ma joue, descend et s'attarde sur mon cou.
Il redessine la courbe de mes seins du doigt.
Et puis, d'un coup, il en pince le bout. Fort.
J'ouvre la bouche pour me plaindre et suis presque surprise du gémissement de plaisir qui s'échappe de mes lèvres.
Il maintient la pression quelques secondes et je l'entends soupirer d'aise au moindre de mes tressautements.
Il recommence plusieurs fois et ce petit manège a pour effet immédiat de déclencher une envie dingue dans le bas de mon ventre.
A chaque shoot de douleur, mes hanches ondulent ; je sens mes lèvres glisser l'une contre l'autre.
Il a dû le remarquer aussi parce qu'il plonge deux doigts en moi pour vérifier.
- « Je me demande si ça t'arrive de ne pas être trempée... »
- « C'est parce que vous m'excitez, Monsieur. »
- « Ou alors, c'est juste parce que tu es une petite chienne. »
- « Et c'est parce que je suis une petite chienne que vous m'excitez autant, Monsieur. »
Son silence m'indique qu'il savoure ma réponse. J'imagine son sourire ravi et ça me comble.
- « Ne bouge pas. »
J'essaye de me figer alors que je crève d'envie de remuer mes fesses sous son nez pour qu'il me prenne enfin …
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